Le groupe pétrolier et gazier public polonais PGNiG fait partie des soumissionnaires potentiels intéressés par la participation de 50% détenue par le groupe américain ExxonMobil dans le périmètre offshore Neptun Deep, en mer Noire en Roumanie.

Le groupe américain a engagé ScotiaBank pour trouver un acheteur pour la participation de 50 %. ExxonMobil a développé le projet Neptun Deep dans le cadre d’un partenariat 50-50 avec la compagnie pétrolière et gazière roumaine OMV Petrom, contrôlée par le groupe autrichien OMV. Le groupe américain a jusqu’à présent investi environ 700 millions de dollars dans des activités d’exploration dans ce projet.

Le géant de Natgas, PGNiG, prévoit actuellement le lancement complet de la production de la première phase de son gisement Aerfugl en mer du Nord au quatrième trimestre 2020 et le lancement de la production de la deuxième phase aussi en 2020 par rapport aux plans antérieurs visant à achever la deuxième phase de développement en 2023, a déclaré la société dans un communiqué de presse.

L’accélération des travaux est devenue possible grâce à l’augmentation technique de la capacité de l’unité de production et de stockage FPSO Skarv à laquelle le champ AErfugl est connecté. « Tous les partenaires de la concession souhaitent commencer à produire ce gisement dès que possible. Nous sommes d’autant plus heureux de mettre en œuvre une partie du plan plus tôt qu’ AErfugl est l’un des gisements les plus attractifs du plateau continental norvégien. », a déclaré Piotr WoNniak, président de PGNiG.

Oboya Horticulture Industries a décidé d’investir dans de nouvelles machines dans l’usine de Skierniewice, en Pologne. Les investissements sont réalisés pour répondre à l’augmentation de la demande et pour renforcer la présence de la Société sur le marché nordique. Les nouvelles machines produiront dans un premier temps des pots de culture en plastique recyclable et en biomatériaux qui réduiront la consommation d’énergie, ce qui favorise l’environnement et la durabilité. Les machines seront livrées courant janvier 2020 et seront mises en service immédiatement.

Parallèlement aux nouveaux investissements, Oboya fusionne les filiales polonaises du groupe. La fusion s’inscrit dans le cadre des mesures d’amélioration de la rentabilité déjà communiquées et du plan stratégique de la Société visant à atteindre une marge nette de 5 à 7 %.

Une grande usine d’assemblage de bicyclettes, qui produira 1,5 million d’unités par an, sera construite à Timisoara, dans l’ouest de la Roumanie, a annoncé le maire Nicolae Robu. Ce sera la plus grande usine de bicyclettes du sud-est de l’Europe. Le projet implique des investissements de 30 millions d’euros et l’usine emploiera 3 000 personnes.

Timisoara reste le lieu le plus attractif pour les investisseurs étrangers, avec 4 milliards d’euros versés dans la ville par des sociétés étrangères, a déclaré le maire Robu. La Roumanie est l’un des plus grands producteurs de bicyclettes en Europe, avec trois usines qui produisent plus d’un million d’unités par an. La plus grande appartient au groupe français Decathlon, qui possède une usine à Resita, dans le sud-ouest de la Roumanie.

Le gouvernement polonais pourrait conclure dans quelques mois les négociations sur le financement de la première centrale nucléaire du pays, a déclaré Piotr Naimski, responsable de l’infrastructure énergétique stratégique du gouvernement.

Le gouvernement polonais va créer une société ad hoc dans laquelle il détiendra une participation de 51%, les 49% restants seront détenus par un partenaire étranger. La plus grande compagnie d’électricité polonaise, PGE, pourrait devenir actionnaire de l’entreprise nucléaire polonaise.

La Pologne prévoit de construire la première des six centrales nucléaires prévues en 2033, puis d’en ajouter une autre tous les deux ans, l’objectif de capacité nucléaire pour 2040 étant fixé à 5,6 GW, pour atteindre une capacité finale de 6 à 9 GW.